Malheureusement, le diable de Tasmanie est (lui aussi) victime des pratiques humaines qui sont généralement contre l’environnement (et non avec). Ainsi, pour des raisons économiques, sont utilisés des produits chimiques dans l’agriculture, qui déciment la population de diables à coup de tumeurs; c’est à se demander qui est le diable… De ce fait, pour être protégés, ils peuvent vivre dans un enclos à l’abris des pesticides et autres produits dont on nous vente les mérites depuis plusieurs générations.
Le point d’arrivée en Tasmanie a été par la voie aérienne – bien qu’étant la plus polluante, elle reste la moins chère – à Launceston, ville de 70 000 habitants avec qui au départ je n’ai pas accroché; jusqu’à ce que je découvre la Cataract Gorge Reserve qui est une réserve le long d’une rivière. Nous voilà donc au point de la fin du post précédent.
N’ayant pas sur moi les outils de cartographie, le plan de mon trajet ne sera pas inclus dans ce post, il faudra donc attendre un peu – patiente. Le trajet de cette partie se résume donc à Nord-Sud, en passant par la côte Ouest pour arriver à Hobart, suivi du trajet retour par la côte Est.